Avec le "mégafeu", on est moins proche de l’apocalypse que de la méga-outrance
En France, difficile de dire que les « mégafeux » sont en pleine expansion. Or c’est tout l’enjeu de ce nouveau vocable catastrophiste. Il est certes incontestable que des étés de plus en plus chauds multiplient les risques d’incendie. Mais pourquoi à tout prix rebaptiser des feux auxquels il suffisait auparavant d’adjoindre un adjectif pour en évoquer l’ampleur ?
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